Je sais qu’on te vend du rêve en te parlant de flow. Et je sais que j’y contribue probablement. Mais laisse moi clarifier ça une bonne fois pour toutes (ou presque, parce que je sais que je vais me répéter, c’est indispensable) : ce n’est pas censé être facile de A à Z.

Tu m’as bien lue : créer un empire, emmener ton business au niveau supérieur, laisser une trace… ce n’est pas censé être facile.

A chaque étape, il y a des résistances. De l’inconfort. Et c’est normal.

Je reçois de temps en temps des messages admiratifs suite à mes stories snapchat ou instagram dans lesquelles je partage des bouts de mes séances de musculation. Ces messages sont admiratifs non pas parce que je fais quelque chose d’exceptionnel, mais parce qu’on peut voir clairement que mon corps s’est musclé.

Je suis fière de ces muscles et je prends du plaisir à les travailler en général mais : tu crois que je me fabrique du muscle en m’arrêtant dès que ça fait un peu mal et en zappant mes séances les jours où j’ai la flemme ? Tu crois que c’est confortable ? Qu’il n’y a pas de frustration les jours où j’y arrive moins bien, où c’est moins fluide que d’habitude ?

Non ! Sinon il ne se passerait rien.

C’est pareil quand tu cherches à faire passer ton business au niveau supérieur. Et ce, même si comme moi, ton business est ta mission sacrée, et que tu es connectée à ton intuition et à l’Univers.

Parfois, ça fait un peu mal.
Parfois, on a la flemme.
Parfois, c’est inconfortable.
Parfois, c’est frustrant.
Parfois, c’est moins fluide que d’habitude.

C’est normal. C’est comme ça que c’est censé se passer.

Mais attention : ça ne veut pas dire que tout doit être souffrance et zéro plaisir. Pas du tout.
Ça ne veut pas dire que le flow n’a pas sa place. Bien sûr que si ! Je suis la première à promouvoir cette énergie.

Mais c’est dans l’équilibre des énergies que l’on avance vraiment. En faisant preuve de discernement et en sachant quand opérer dans le flow et quand pousser.

Ça demande d’être honnête envers soi même. D’être à l’écoute. D’avoir du recul. C’est du boulot !

La question est : est-ce que tu es prête à faire ce boulot ? Dis-moi en commentaire si tu es prête à le faire (ou ce qu’il te manque pour l’être) !