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Quitter son emploi en période de crise ? Je l’ai fait, et je n’en suis pas morte ! (deuxième partie)

par | 21 commentaires

woman spreading hair at during sunset
Quelques mois après avoir été libérée de tout engagement avec mon employeur, je fais le point sur mon expérience…. Première partie disponible ici.

Deuxième partie : le chômage, concrètement ?

La Libération

Lorsque j’ai appris que ma demande avait été entendue et que j’avais enfin obtenu ce pour quoi je m’étais préparée à me battre aussi longtemps qu’il l’aurait fallu, j’ai presque eu du mal à le croire. Je m’attendais à un piège. Pourtant, la signature des papiers s’est faite sans encombre, et j’étais libre… immédiatement !

En quittant la tour dans laquelle j’avais travaillé ces huits dernières années, je ne réalisais toujours pas. Les jours suivants non plus d’ailleurs. En même temps, je revenais d’arrêt maladie, donc mes journées de femme libre n’étaient pas bien différentes.

Pourtant, quelque chose a changé en moi, de façon assez profonde. Un jour, j’ai réalisé que j’avais oublié de prendre mon anti histaminique (après avoir tenté les anxiolytiques et somnifères sans trop de succès, il m’avait été prescrit pour m’aider à dormir). Et je me suis interrogée : depuis quand ne l’avais-je pas pris au juste ? Là, mon visage s’est illuminé : je n’avais rien pris pour dormir depuis quelque jours, et pourtant, je dormais, et ce sans avoir à tourner dans mon lit pendant deux heures !

S’il m’avait fallu une preuve supplémentaire de la nécessité de quitter mon emploi, elle était juste là.

L’épineuse question financière

Je m’étais préparée psychologiquement à ne plus avoir la même rentrée d’argent chaque mois, et mon bien-être personnel était bien plus important à mon sens que l’argent lui-même.

Une fois ma rupture conventionnelle accordée, il m’a fallu commencer à réajuster un certain nombre de choses, en trouvant le juste équilibre me permettant de ne pas me sentir frustrée.

J’ai calculé le montant de mes assedics, et fait le point sur mes dépenses fixes. Là, laissez-moi vous dire que ça a été la soupe à la grimace ! Il fallait impérativement réduire mes dépenses fixes, et vite !

J’ai commencé par m’attaquer aux dépenses récurrentes, en réduisant mon forfait téléphonique mobile et en me désabonnant de ce qui ne m’était pas nécessaire (magazines, carte intégrale…). Déjà, c’était un peu mieux. “Bien… mais pas top”, soyons honnête. Sans les impôts, ça aurait été beaucoup mieux, mais il faut bien les payer… ce qui me laissait peu de marge.

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Le syndrome de la boniche

Lorsque j’ai retrouvé ma liberté, il y a une chose que j’ai apprécié tout particulièrement : la possibilité de faire les courses en pleine journée, pendant que les gens travaillent. Fini les rayons surpeuplés, fini les files d’attente interminables aux caisses ! A moi le bonheur et la liberté !

De même, le week end pouvait être utilisé uniquement pour passer du temps avec les amis ou la famille au lieu de gérer les tâches ménagères. Le pied, je vous dis !

Le problème, c’est que très rapidement, j’ai commencé à glisser dangereusement vers le fameux rôle de la boniche ! Non pas que je l’ai voulu, mais par la force des choses… Eh oui, quitte à passer beaucoup de temps chez soi, autant que cela soit agréable à vivre. Du coup, je me suis vite retrouvée à accomplir chaque jour des tâches ménagères. En même temps, je passais plus de temps à la maison que mon mari, et je savais bien qu’en rentrant du boulot on n’a surtout pas envie de s’occuper de ce genre de choses ! Heureusement, je me suis vite reprise.

Si j’avais un conseil à vous donner, c’est donc celui-ci : il est hors de question que la personne avec laquelle vous vivez n’en profite un peu trop. Fixez-vous des règles. Ce n’est pas parce que vous passez plus de temps à la maison que vous devez tout faire. La répartition des taches est toujours d’actualité, et vous devez le faire savoir à votre « moitié », pour votre bien à tous les deux !

A suivre : Prendre du recul

A vous les studios !

Mon récit n’est pas terminé, et vous aurez droit à la suite très bientôt. Mais si cet article vous inspire déjà quelques réflexions, s’il vous rappelle des souvenirs, si vous avez des anecdotes, je serais ravie de les lire !

Laissez donc un commentaire !

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À propos de Joanne Tatham

À propos de Joanne Tatham

Coach, Mentor, Auteure et facilitatrice de Cercles de femmes en ligne, Joanne Tatham est une mystique pragmatique qui aide les femmes à se reconnecter à l’essentiel et à être sereines, solides, visibles et alignées.

Grâce à ses programmes, elle les aide à s’apaiser, à s’aligner avec la vie qu’elles désirent, et à manifester leur vision & leurs rêves.

Consultante en Personal Branding, elle aide par ailleurs les entrepreneures solo à développer une présence en ligne magnétique qui leur ressemble.

Amatrice de simplicité, Joanne est également l’auteure du livre « J’arre?te le superflu ! » (e?ditions Eyrolles).

Pour en savoir plus à propos de Joanne, clique ici »

 

21 Commentaires

  1. Catia95

    Merci de nous faire partager ton expérience.Tu es la preuve qu’on peut quitter un boulot en période de crise et ne pas galérer derriére,bien sûr tout n’est pas rose mais en faisant quelques ajustements et en mettant du sien on peut toujours s’en sortir.Et les bienfaits en valent largement le coup 🙂
    Peut-être que tu vas convaincre certains lecteurs qui tergiversent encore à quitter un emploi dans lequel ils ne s’épanouissent plus, à enfin faire le grand saut!

    Concernant la répartition des tâches je suis bien d’accord avec toi,chacun doit continuer à faire sa part,même s’il est normal que tu alléges la part de ton mari vu qu’il travaille toute la journée…

  2. Nicolas

    Bonjour Joanne,

    J’ai découvert ton blog il y a quelques jours seulement. J’en profite pour te féliciter et te remercier pour tes articles très agréables à lire, on sent que tu as réellement envie de partager sans cette arrogance devenue trop commune sur les blogs de cette thématique.

    En commentaire à ce billet : j’ai aussi connu une période de « blanc » professionnel, entre une démission et une recherche d’emploi et je vivais plutôt bien mon rôle d’homme au foyer (Mlle travaillait) … au début !

    Au début, c’est sympa de se sentir utile pour le foyer, on fait le ménage qu’on a négligé, on va au marché et on prépare des gâteaux, on prend en charge les tracasseries administratives… mais au bout d’un moment, ca manque de sens.

    Mon truc à moi, c’est le piano, je peux jouer des heures chaque jour et chaque journée sans m’améliorer me semble une journée perdue.

    Mais même avec ca, le fait de croiser uniquement des petites vieilles au supermarché, les mères au foyer au parc, les retraités à la bibliothèque municipale, ca fait tout bizarre… On se sent presque mourir.

    Parce qu’il faut pas se leurrer, en journée, la plupart de tes amis sont au boulot, !
    C’est un des obstacles qui me bloque pour passer de « salariat » à « à mon compte » : je me remémore toujours cette période de chômage pendant laquelle j’avais eu vraiment du mal à me connecter à cette « vie active » en journée…

    Je vais retenter l’expérience bientôt, d’ici là je serais intéressé de savoir comment tu vis cela !

    Et encore félicitations pour ce blog.

  3. Emeralda

    Je dois être un ours parce que franchement, le boulot ne me manque pas le moins du monde. Mes rares amis bossent certes, mais ce n’est pas un problème, j’ai de quoi m’occuper. D’ailleurs mes amis, je les vois très peu puisque j’ai déménagé à 70 km d’eux. Reste que l’on se téléphone longuement et que lorsqu’on se voit, c’est franchement génial. Je suis toute à eux !

    J’aime ma « solitude ». Les heures que je passe seule à la maison ne sont jamais assez longue et pourtant je les aime mon mari et mes filles.

    C’est certain, je suis un ours !

  4. Joanne Tatham

    Merci pour vos commentaires !

    @Catia95 Oh, je ne dis pas qu’on ne galère pas… Tout changement comporte des risques, et il faut faire preuve d’adaptation. Mais le bien-être passe avant tout, et continuer à travailler dans des conditions qui ne nous plaisent pas, ou faire un travail que l’on n’aime pas nous éloigne de qui nous sommes.

    On galère forcément. Plus ou moins selon les outils à notre disposition et notre capacité à mettre à profit cette période de transition 😉

    De même pour les tâches ménagères : à moins de vouloir en faire son activité principale, ce n’est pas cela qui nous rapproche de nos objectifs de vie ! 🙂

    @Nicolas Merci à toi de prendre le temps de commenter, et pour ces mots qui m’encouragent à poursuivre 🙂

    J’ai moi aussi connu le plaisir de faire de bons petits plats et gâteaux pour le plaisir de mon mari, mais ça n’a duré qu’un temps (d’autant que je n’aime pas faire la cuisine ;)). Le sentiment de ne rien faire de vraiment important m’a vite rattrapée également !

    Concernant l’isolement lié au chômage ou à une activité professionnelle en indépendant, il est vrai que cela peut être très gênant pour beaucoup de personnes. Restent les déjeuners avec les amis, mais se pose le problèmes des finances : au chômage, on ne peut pas se permettre de manger dehors trop souvent.

    Toutefois, en tant que travailleur indépendant, il y a des possibilités de sortir de l’isolement. Je connais par exemple un développeur web qui a pour habitude de travailler dans des cafés. Lorsqu’il a besoin de se concentrer, il met ses écouteurs sur les oreilles, et s’accorde des pauses pour discuter avec le patron et avec des habitués. L’avantage, c’est qu’il rencontre de nouvelles personnes qu’il n’aurait pas connu dans d’autres circonstances 🙂 Ensuite, il rentre chez lui et travaille une partie de la nuit à son domicile (il vit donc un peu en décalé).

    Sinon, on peut trouver une place dans un bureau qui accueille de indépendants. C’est encore autre chose car il faut payer la location de son bureau / internet / téléphone, mais on est dans un véritable espace de travail. Ensuite, à Paris il y a par exemple la cantine qui permet de travailler dans un espace propice aux rencontres et aux échanges : http://lacantine.org/blog/un-espace-de-coworking 🙂

    @Emeralda Non, tu n’es pas un ours ! Comme toi, j’apprécie énormément mes moments en solitaire. J’ai vraiment de quoi m’occuper et je ne vois pas les journées passer non plus, alors qu’avant elles me paraissaient longues… loooongues…. 😉

  5. fabrice

    Je suis en plein dedans depuis 2 semaines, pour la 7 eme fois je crois, ca commence a rentrer.-)

  6. Sophie | Esprit de Succès

    En tous cas, j’ai l’impression que devoir diminuer tes dépenses t’a amenée au minimalisme, ce qui t’a amenée à repenser ton blog. Comme tu le dis : « Vive la crise ! » 😉

  7. Joanne Tatham

    @Fabrice T’es un vieux routier, toi 😉

    @Sophie En fait, ça ne s’est pas vraiment passé dans cet ordre. Je m’intéressais au minimalisme depuis quelques années déjà, après avoir été une dépensière compulsive !
    Toutefois, c’est effectivement mon break professionnel qui m’a permis de repenser mon blog en l’axant plus vers le minimalisme 🙂

  8. lilipruneau

    Je ne peux pas dire que mon boulot me donne entière satisfaction, mais comme je suis fonctionnaire, je suis relativement (je dis bien relativement parce que notre statut change de mois en mois) tranquille. J’arrive à faire un peu ce que je veux grâce à mon parcours étudiant assez varié. Du coup, je ne m’embête pas et mes collègues sont cool.
    Mais je suis sur diplômée et je sais que tout ce que j’ai fait à la fac, je le perd petit à petit et c’est dommage. Par contre, je n’arriverais pas à laisser tomber cette situation pour me lancer dans une autre aventure, aussi excitant que cela puisse être. Je suis un peu trouillarde je pense, mais tant que je dors bien et que ma vie est stable, je garde cette tranquillité. Et puis il faut payer le crédit de l’appart’!! 😉
    En tout cas, çà fait réfléchir, et qui sait peut-être qu’à 40 ans, je plaquerais tout pour créer des bijoux ou être graphiste indépendante? On peut toujours rêver… 🙂

  9. sahitsy

    Tout simplement, Bravo!

  10. Julien

    Je suis (presque) dans la même situation: je serai en recherche d’emploi dans une vingtaine de jour, alors que j’aurais pu garder mon job actuel. Mais j’ai vraiment besoin de changer d’air. Et je me rends compte que le fait de ne pas être satisfait par mon travail me rend plus irritable, ce qui se ressent sur mes proches. J’ai donc dit stop!
    Je m’apprête à passer au moins un mois au chômage, et j’avoue que je m’en réjouis presque. Après, il ne faudrait pas que ça dure trop longtemps…!

  11. eric

    A partir d’un certain age, changer d’emploi voir de vie professionnelle peut être salvateur. Les choses, tout comme l’univers, se déforment et évoluent irrémédiablement. Prenons le train en marche et profitons de ces opportunités pour opérer de profonds bouleversements de notre « train train » quotidien !
    Belle expérience en tout cas et mercide nous l’avoir conté.

  12. Damien

    Excellent épisode 2. J’attends la suite avec impatience.
    Je n’ai rien de très constructif à dire cette fois ci désolé… :/
    En tout cas la lecture de cet article à été un réel plaisir, fluide, limpide et instructif. 🙂
    Bonne continuation Joanne.

  13. AM

    Le syndrome de la boniche : en effet, très facilement votre compagnon peut considérer que « tout doit/peut-être être fait » pendant son absence. Ne jamais rentrer dans ce piège. Il faut considérer que « tout est travail » (formation, création, refaire son cv, changer de destiné etc etc) même si celui-ci n’est pas forcement rénuméré ;-))

    Très bon article!

  14. Monalisa lebonheurpourlesnuls

    Salut Johanna,

    Je me retrouve complètement dans ton expérience.
    En 2005, j’ai connu une année de recherche d’emploi… et j’ai adoré toute cette liberté !

    J’avais l’impression depuis quelques années que ma vie était au service de mon emploi. Après la journée de travail, il y avait un peu de ménage, les papiers et factures à gérer puis la fatigue d’avoir passé la journée à résoudre des problèmes ch..nts ! Au final, je trouvais que cette vie n’avait pas tellement de sens.

    Désormais, je souhaite trouver une activité professionnelle qui soit au service de ma vie. Pour faire ce que je ferais si je n’avais pas besoin de gagner ma croute…

    As-tu trouvé un projet professionnel qui te convient ?

  15. Etienne

    Salut Joanne.

    Ca se voit que tu es heureuse, à travers l’écriture de ton article. C’était un plaisir de le lire, et content que tu sois en paix 🙂
    Profites bien !

  16. Joanne Tatham

    @lilipruneau C’est marrant, tu ne te vois pas tout plaquer, et pourtant tu finis par « on peut toujours rêver »… Peut-être es-tu déjà sur le chemin du changement, si cette dernière phrase fait référence à un rêve secret ? 😉

    @sahitsy merci 🙂

    @Julien Je te souhaite que cette période de chômage te soit profitable ! 🙂

    @eric Merci à toi pour ton commentaire 🙂 Effectivement, ne nous contentons pas de regarder le monde changer autour de nous : changeons avec lui !

    @Damien Merci 🙂 Episode 3 à suivre… 😉

    @AM Notre discussion à ce propos a été une bonne source d’inspiration 🙂

    @Monalisa Trouver une activité professionnelle qui soit au service de notre vie, c’est effectivement ce que nous devrions chercher ! C’est une très belle formule 🙂 Oui, j’ai trouvé ! Je suis d’ailleurs en formation… Plus d’informations dans un prochain épisode 😉

    @Etienne Ah oui, ça pour être heureuse… je suis heureuse ! 🙂

  17. Kalagan

    Je me rappelle de ce jour de délivrance comme si c’était hier. Franchement, j’en avais presque les larmes aux yeux 🙂

    Ce qui a été dur, c’est que ma rupture conventionnelle a été acceptée à une seule condition : qu’elle reste secrète. Je ne pouvais pas en parler à mes collègues par crainte de prolifération.

    Y’a pas photo, la rupture conventionnelle est la meilleure façon de quitter une entreprise pour se mettre à son compte. En France, je touche maintenant 70% de mon ancien salaire (pendant 15 mois maxi), ce qui me permet encore de faire des économies tous les mois, et ce qui me donne le temps de rentabiliser mes activités indépendantes.

    Si vous voulez des conseils pour mener une rupture convetionnelle à terme, n’hésitez pas à me contacter sur mon blog.

  18. Athama

    Etre à la maison vous coupe de la vie sociale d’une entreprise… c’est un critère plus important qu’on ne croit. Mais si on quitte une PME où la vie sociale n’existe pas alors oui, la liberté retrouvée est grisante… attention à ne pas fainéantiser 😉

  19. Joanne Tatham

    @Kalagan Merci pour ton retour d’expérience. On ne m’a pas demandé de garder le silence, mais je sais que c’est parfois le cas… Je suis en tout cas bien heureuse de ne pas avoir eu cette obligation, j’aurais bien eu du mal à me taire ^^

    Effectivement, comme tu le soulignes, la rupture conventionnelle permet de se lancer en indépendant sans prendre trop de risques financiers… ce n’est pas négligeable !

    @Athama (je me suis permise d’éditer ton pseudo, le tien était bien trop « impersonnel ») Parles-tu de ton expérience personnelle ? Qu’est-ce que la « vie sociale d’une entreprise » pour toi ?
    J’ai tendance à penser que c’est vraiment une question de personnalité et de mode de vie. Etre seule en journée ne me pose aucun problème, j’ai largement de quoi m’occuper. Quant à la vie sociale, certes, je ne vis pas seule, mais aussi… j’ai toujours des amis !
    Précisons que j’étais salariée dans une multinationale…

  20. Franck | Papa Blogueur

    Merci pour ce témoignage.
    J’ai bien aimé ton dernier point, poser des règles afin de ne pas devenir esclave de la maison parce que tu avais quitté ton emploi !
    Oui certes, tu es chez toi « donc tu as plus de temps ». Mais du temps pour qui ? Pour quoi ? Si c’est pour devenir femme au foyer, est-ce réellement ce que tu voulais ?
    Je ne pense pas, donc tu as bien fait de mettre les points sur les « i » de suite.

  21. Alain

    Tres inspirant de te lire Joanne !!

    Je suis présentement en train de réorienter ma carrière…

    Ayant moi aussi été attiré par les « tours de verres « ..j’ai tout laisser tomber pour me réorienter vers des emplois physiques ( Malgré un infarctus l’hiver passé )..ainsi ,je suis payé pour m’entrainer physiquement ! ( C’est ma façon POSITIVE de le voir )

    J’ai bien hâte de lire la suite de ce billet bientôt !!!!